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Parmi les cinq solutions X' proposées les solutions X'2, X'4 et X'5 ont souvent été choisies, en particulier X'2 (choisie par 35,8% des dégustateurs). Cela doit être dû au fait que la stévia est caractérisée par un goût particulier. Néanmoins, la solution X'4 a été choisie le plus souvent, par 41,7% des dégustateurs. Cette dernière avait pour concentration massique en stévia 0,17 g/L. Nous effectuons donc le calcul suivant pour connaître son rapport avec le sucre de table et donc son pouvoir sucrant :

PS stévia = m(saccharose) / m(stévia)  
PS stévia = 50 / 0,17  ≈ 294                            

Le pouvoir sucrant que nous avons déterminé ici avec ce protocole gustatif correspond à celui que nous avions recherché précédemment.


 


 


 


 


 


 


La stévia se caractérise par une saveur qui lui est propre les personnes qui aiment l'aspartame ne l’apprécient donc pas forcément. En effet, seul 43% des goûteurs trouvent que les solutions aqueuses de stévia ont bon goût, 47% ont trouvé moyen la saveur de la stévia et 10% n'ont pas aimé du tout.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Approximativement la moitié des dégustateurs ont perçut une singularité entre la stévia et le saccharose. On observe également un grand panel de remarques concernant le goût de la stévia et cela prouve une nouvelle fois l'unicité de chacun. En effet, les avis diffèrent : 2,5% trouvent que la solution a un goût plus prononcé contre 2,5% qui la trouve au contraire moins prononcée. Par rapport à l'aspartame, la stévia présente plus de particularités prédominantes. Nous remarquons que 5,8% des goûteurs ont trouvé que la stévia avait un goût d'anis ou de réglisse (ce qui confirme nos recherches), 4,2% l'ont trouvé amer, 4,2% également l'ont rallié au goût des médicaments et 6,7% ont trouvé que le goût sucré durait plus longtemps. En outre, vingt et une personnes ont détecté qu'il y avait une différence mais n'ont pas su déterminer laquelle. On note que seulement 1,7%, soit deux de nos 120 goûteurs ont su reconnaître la stévia, ce qui montre que cet édulcorant reste méconnu.

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